La bd « les jeunes de banlieues mangent ils des enfants »

Au départ c’est un livre de sociologie, mais le format BD rend les choses plus accessibles.

Très instructif avec pas mal de chiffres sur le sujet

Je suis tombé sur mes vieux Galaxies SF en rangeant la bibliothèque, je ne suis dit qu’un recueil de nouvelles c’était pas mal au lit avant de dormir car les histoires sont courtes.

J’ai choisi celui avec une couverture verdoyante sans trop faire attention, c’est 100% SF écrite par des femmes de plumes, et c’est très agréable à lire.

J’ai fini Mauvaise graine d’Octavia Buttler, que j’ai beaucoup aimé et dont je compte bien lire la suite. C’est le premier livre d’elle que je lis, il était temps!

Sinon, je suis dans Retrouver la douceur de Cécile Coulon, une poétesse que j’aime beaucoup. Le seul point noir est la texture des couvertures du castor astral, mais j’ai fait un couvre-livre en tissu pour ces situations-là. En poésie ou pas loin toujours, je lis aussi Mais cette vie-là demande. toujours. plus. de. lumière. de Sabrina Calvo parce que j’ai envie de mieux découvrir cette autrice.

Et j’avance très doucement dans La liberté ne se mendie pas, de l’Envolée, avec principalement des textes d’Olivier Cueto puisque c’est un hommage. Comme c’est plein de textes courts, c’est pratique à lire par-ci par-là, j’apprends toujours des trucs à la foi sur les luttes anticarcérales et sur les lois de mon pays.

Terminé

Lovecraft mérite son statut. Point.
Les Cthulhu peuvent se lire dans n’importe quel ordre, selon un site que j’ai consulté tout à l’heure. Alors, foncez !

J’ai commencé Un temps pour mourir d’André Masson. Pas le peintre, mais l’écrivain mauricien. Le roman date de 1962 mais a été réédité récemment par les éditions du Typhon.

Ce qui est tout à fait adapté puisque l’action se déroule sur le plateau d’une île tropicale, à l’arrivée d’un cyclone. Or, une vieille prophétie prédit que le village de Verfeuille et ses habitants seront décimés par une terrible tempête. Les âmes s’agitent : celle du père Hildefonce, dont l’église est désertée depuis longtemps, inquiet pour le salut des âmes de ses ouailles et qui se demande s’il doit sonner le glas ; celle de Pensalon-les-morts, gardien du cimetière, furieux de n’avoir enterré personne depuis qu’il a pris la suite de son père et qui se réjouit de l’annonce mortelle ; celle de la jeune et belle Foncine, qui n’aspire qu’à être libre d’exprimer ses désirs ; celle d’Hilfon qui veille sur son troupeau…

André Masson aurait été inspiré par les cyclones Alix et Carol qui ont ravagés l’île Maurice en 1960.

Pour l’instant, ce roman me plait beaucoup !

J’ai fini le premier Millénium. C’était vraiment pas mal mais un peu trop sordide pour moi, je ne pense pas continuer.

Sinon sur une touche plus douce, j’ai lu “Insomniacs after school” sur les bons conseils d’Œil. L’histoire de deux étudiants qui se rencontrent en squattant l’observatoire abandonné de l’ancien club d’astronomie de leur lycée, pour pouvoir se reposer. C’était très cool et apaisant.

J’attaque la partie 3 de Mon vrai nom est Elisabeth. Le côté "histoire des sciences et techniques " est excellent. Le côté enquête familiale m’a moins plu mais peu importe. Par contre c’est révoltant et triste au possible…

J-ai commencé “Mermaid saga”. C’est un poil plus intéressant que l’OAV unique de “Manga Mania”.

Je continue Tattoos as Punishment, qui décrit l’histoire du tatouage au Japon. C’est très complet et intéressant mais pe un peu dense et austère.

Pas de One Piece cette semaine… Oda-sensei est en pause! =P

Akira, J’en suis au tome 10. Classique de la bédé japonaise, et en couleur s’il vous plaît.

Et puis j’ai commencé histoire d’une montagne de Elisée Reclus, aussi. C’est une sorte déambulation poétique dans la nature, c’est très beau.

J’ai fini la première partie de d’Ivan le terrible d’Alexis Tolstoï. Je vais le finir mais c’est pas le livre du siècle

J’ai commencé Emma de Jean Reno.

C’est un peu lourd comme style, et au début y’a un truc avec des massages, un poil ésotérique. Pas sur que j’aille au bout.

J’ai lu Harukanaru Ring, un manga sur une aspirante joshi (catcheuse japonaise) qu’on suit de ses débuts compliqués jusqu’à sa consécration en tant que top star de sa compagnie. C’est un manga assez court (4 volumes) qui prends le parti de traiter la discipline comme un sport de combat légitime, ce qui n’est pas dérangeant puisqu’il n’a pas vocation d’être biographique ou quoi. Malgré cet optique, l’auteur parvient à présenter des éléments du business comme les “turns” (passer de gentille à méchante et vice versa), ou la psychologie in-ring qui nécessite notamment de prêter attention aux réactions du public. C’est sympa.

Y a quand même un truc qui me laisse un sale gout, en dehors du fanservice à la con qui fait limite partie des meubles quand on cause de manga, c’est cette façon de justifier les abus (coups et insultes donc) subis par les jeunes femmes lors de leur période d’entraînement comme une manière de les endurcir. De la grosse connerie… Ça m’a rappelé le docu Gaea Girls sur l’école de catch de Chigusa Nagayo dans lequel on voit des gamines se manger de vrais gnons à en avoir la gueule en sang avec l’assentiment de la patronne qui voit ça d’un bon oeil, alors qu’elle-même a subi tout ça…

Quelqu’un a lu La colere et l’envie d’Alice Renard ?